mardi 26 novembre 2013

Des haricots verts en novembre

C'était samedi ou dimanche 24 novembre,
j'ai ramassé les derniers haricots verts. ça peut paraître surprenant, mais ils étaient très bons.
Une bonne assiette ou plutôt trois bonnes assiettes de soupe de haricots verts.
Ils ont résisté au froid, à la pluie, à la neige, au premières gelées. certaines parties du fruit étaient d'ailleurs abimées par le gel. ça n'enlève rien au plaisir de les ceuillir, et de les préparer avant de les manger.
Je les avais plantés un peu tard, en août, je ne sais plus vraiment quand, je l'ai peut-être noté quelque part; mais alors ou?
J'avais réalisé deux sillons assez conséquents, de bien 30 cm de profondeur. J'ai planté les grains au sommet de la butte, dans un petit sillon secondaire, le tout en ligne plus ou moins par poquet. résultat deux belles lignes de haricots. L'une est sortie plus vite que l'autre car je l'ai paillée avec différentes plantes séchées dont des grandes herbes.
par la suite, la deuxième ligne a rattrapé la première : elle a ensuite poussée plus vite. Les deux lignes ont donné de beaux haricots, mais la récolte est venue sur le tard, trop tard. Il n'est pas évident de planter au bon moment, si on beaucoup d'espace, on peut faire des semis régukliers à intervalles de quinze jours, mais celà nécessite beaucoup de place, et plus de temps. par ailleurs, la récolte peut devenir conséquente, auquel cas, il faut prévoir un débouché, ou envisager la mise en bocaux, ce qui peut être très bien.
Enfin, il faut noter que même si le haricot n'a pas besoin de beaucoup d'eau, il lui ne faut quand même pas qu'il en manque, surtout à la floraison. la technique du sillon profond semble permettre en partie de limiter la consommation d'eau;

En tout cas, je suis assez fier ou du moins content, d'avoir pu récolter une assiette à cette saison, Je pense que c'est une année un peu exceptionnelle.



lundi 25 novembre 2013

Les abeilles ont froid


Je me suis rendu aujourd'hui auprès des ruches, pour donner à manger à ces petites bêtes.
après tous les déboires essuyés, une nouvelle surprise m'attendait.
Sur deux nourrisseurs visités, rien n'a été mangé: pas plus le "candi provenant du magasin, que la confiture de ma préparation, n'ont été touché.








Sur la ruchette, celà se comprenait la semaine dernière puisque l'accès au corps du nourrisseur était barré par la baguette prévue pour le sirop. Seulement là, je suis surpris.
j'y vois au moins deux ou trois explications :


  1. il fait froid, les abeilles évitent de monter, pour garder la grappe chaude;
  2. elles ont suffisamment à manger, l'arrière saison ayant été belle, elles ont pu emmagasiner suffisamment de miel et pollens;
  3. elles sont peu nombreuses, et consomment donc assez peu. Dans ce cas, à un moment, elles risquent de mourir de faim et de froid, quand les températures vont baisser. 
Ce qui m'inquiète, c'est le cas ou elles ne sont pas assez nombreuses pour maintenir la chaleur nécessaire. dans ce cas, peut-être faudrait-il leur donner un accès plus rapide à la pitance.

Je crois quand même que le plus simple est de suivre l'évolution, et de leur faire confiance pour vouloir vivre.

Sur la ruche 10 cadres, c'est quand même surprenant. rien de les empêche depuis des semaines de monter dans le bac nourrisseur. Or elles n'ont pas touché au candi. A moins qu'il soit non consommable. la question se pose.

Sinon, je dirais que le problème est le  même que sur la ruchette. 

Quoiqu'il en soit, les deux cabanes hébergent bien des abeilles à ce jour, on les entend légèrement bruisser.  mais j'ai fais bien attention à les déranger le moins possible afin qu'elles ne s'inquiètent pas  trop, et qu'elles gardent leur calme.


Avec un peu de chance, ça devrait bien se passer.
à suivre

Après avoir regardé les images, une autre explication me vient à l'esprit, est-ce que le problème ne viendrait pas tout simplement

  • du froid dans le garde manger ? 


Et par ailleurs, au vu du froid, les bailles

  • peuvent elles manger ce sucre solide et cristallisé;
  • ne manquent elles pas d'eau ?
  • sentent elles cette aliment ? 
Autant de questions aujourd'hui sans réponse qui me font dire encore une f

Composition de l'aliment fourni: ce que j'avais prévu de leur donner est un mélange d'eau sucrée et chauffée de façon à ce que ça cristallise et ne fasse pas trop d'humidité dans la ruche, avec un peu de levure de bière, et aussi un peu de purée de fruit qui me restait de la période des confitures. a ceci, j'ajoute un peu de vinaigre de cidre (paraît-il que celà améliore la digestibilité du mélange).

La mouche du poireau

Champ de poireau, vue d'ensemble

Première observation

Alors voilà, ça y est. Comme pas mal de jardiniers visiblement, j'ai attrapé, ou plutôt mes poireaux semblent avoir attrapé cette fameuse "mouche du poireau".
Pour ma part, je connaissais un petit vers qui nécessitait pour l'enlever de retirer profondément le poireau avec une gouge, afin de rechercher le parasite dans la motte de terre, puis de le détruire tout simplement.
Là, il s'agit d'une mouche, mais ce qu'on observe chez moi, ce sont de petits oeufs un peu rouges et allongés, qui se trouvent au milieu des feuilles. par ailleurs, le poireau devient tout mou, il est mangé de l'intérieur.

L'attaque semble importante, elle réduit beaucoup la production, les poireaux sont affaiblis, et difficilement consommables.

Poireau abîmé par la mineuse du poireau 
Détail de la destruction par la mineuse du poireau


Que faire ?

je ne sais pas encore trop quoi faire. une des méthodes proposée, est de mettre un voile à maille fine à la saison de reproduction, de façon à ce que les mouches ne viennent pas pondre en manger sur le poireau.

Celà semble très contraignant, et gâche un peu le plaisir de cultiver sainement. On va certainement, avec cette solution risquer de créer d'autres problèmes, d'autant qu'il est délicat d'empêcher une petite mouche d'accéder à une culture d'extérieur. cette solution a au moins l'avantage de ne pas être chimique.

voilà ce que j'ai trouvé pour l'instant sur internet à ce sujet;


Moyens de lutte proposées sur terre vivante



Chaque nouvelle région infestée semble d'abord connaître trois années de fortes attaques. la situation se régule la quatrième année de présence.
  • La mise en place de voiles anti-insectes à maille de 0,8 ou 0,5 mm en fin d'hiver et à l'automne (période des vols) semble la seule méthode efficace, à condition que la pose soit très soigneuse (la mouche est capable de trouver le moindre passage) et que les feuilles ne soient pas en contact avec le voile (sinon la mouche pondra à travers).
  • En prévention, il est indispensable d'éliminer très soigneusement toutes les pupes dans les déchets de culture (attention, elles peuvent se déplacer et survivre dans un compost).
  • Enfin, on peut décaler ses semis afin qu'il n'y ait pas de plante hôte pour la mouche dans le jardin au moment des vols. Tout cela demande une meilleure connaissance des dates de vol et la mise en place d'avertissements agricoles, à relayer pour les jardiniers amateurs. Cela permettra aussi de tester d'autres techniques
Extrait de http://www.terrevivante.org/351-la-mouche-mineuse-du-poireau.htm


A ce jour, celà semble être la seule solution facilement trouvable via google, à moins d'une recherche beaucoup plus longue que je n'ai pas le temps de mener maintenant. 

Pour ma part, je souhaite plutôt dans un premier temps, et c'est une démarche générale, rechercher une solution culturelle, j'entends par là, trouver une amélioration en adaptant la pratique de culture du légume.

J'ai quand même trouvé une autre piste : essayer d'éloigner les insectes comme on le fait pour les oiseaux avec un épouvantail. 
Je me dis aussi que planter un peu plus espacé pourrait être bénéfique. cette année a été particulièrement humide, ça doit contribuer.

De plus, je remarque que les jardiniers semblent avoir pour habitude d'arroser les poireaux, or il me semble que mon grand père m'avait dit qu'il fallait éviter de les arroser, ou en tout cas pas trop.

En tout cas, à ce jour, ça devient un problème à résoudre. peut-être est-ce que ça va passer;

 Voici d'ailleurs la conclusion que l'on trouve dans un document intitulé LA MOUCHE MINEUSE DU POIREAU (Phytomyza gymnostoma) : BIOLOGIE ET LUTTE

 La mouche mineuse des poireaux, nouveau ravageur en France fait des dégâts
importants sur les Allium cultivés, principalement le poireau, l’oignon et la ciboulette. Ces
dommages ont d’abord été observés sur poireaux en Alsace et elle est actuellement
présente dans une grande partie de l’est de la France.
Le passage de Phytomyza gymnostoma Loew du statut de diptère de la flore
sauvage à celui de ravageur important des Allium cultivé est un phénomène interessant et,
pour l’instant, sans explication qui mériterait d’être étudié de manière approfondie d’un point
de vue épidémiologique. Dans l’état actuel des choses, il serait bien hasardeux de faire des
pronostiques sur l’évolution du caractère ravageur de cette mouche. Par le passé d’autres
Agromyzidae ont été des ravageurs importants puis sont devenus anecdotiques. Néanmoins
il parait prudent d’entreprendre des études permettant de comprendre mieux la biologie de
P. gymnostoma. Les connaissances biologiques sont la base d’une lutte raisonable.
L’auteur serait reconnaissant d’être informé des observations de terrain concernant
cette mouche mineuse. 


En tout cas, à ce jour, ça devient un problème à résoudre. peut-être est-ce que ça va passer;





vendredi 22 novembre 2013

Les poules sous la neige

Elles se plaisent bien les poules, même sous la neige, et malgré ce froid.

Bien sûr, elles restent moins longtemps dehors, et grattent beaucoup moins le sol à la recherche de vers. mais elles se promènent quand même.
La difficulté que je rencontre est l'approvisionnement en eau. en effet, elle a tendance à geler. ça se comprend aisément.
Ce matin, je pense que je vais devoir leur donner de l'eau chaude.
Au réveil, j'ai trouvé deux jolis petits oeufs. point surprenant, ces deux oeufs étaient posés juste devant la porte.
On pourrait dire que les poules ont "apporté" les oeufs. Et voilà, un des grands plaisir que j'ai en cultivant ou en observant la terre, les plantes, le ciel, les animaux, et tout le reste. ça me permet de comprendre le sens des choses, des mots aussi, en profondeur. Je trouve celà inestimable. c'est pour moi essentiel à la vie.

mardi 19 novembre 2013

recherche matériel

je recherche des éléments usagés de serre tubulaire type professionnel,qui seraient donnés gracieusement, ainsi que le plastique qui va avec. l'objectif est de couvrir mon carré potager, il faudrait minimum 3 arceaux, mais je suis ouvert à plus.

premiers oeufs

Alors voilà, les poules sont doc installées depuis quelques jours, déjà deux oeufs de récoltés jusqu'à hier.
ce matin, ce sont deux jolis petits oeufs que je trouve à la sortie de ces dames, pas de question à se poser sur le repas de midi, ce sera une omelette aux champignons.

voilà, il y a des tracs dans la vie, et souvent, les solutions les plus simples sont les meilleures.
Bon il faut maintenant que je trouve la solution pour ajouter facilement les oeufs quand ils sont produits. Ce n'est pas que je veuille tout rationaliser, mais il est vrai que c'est quand m^me intéressant de savoir à peu près quelle est la production, ainsi que les variation dues à la saison par exemple.

Je dois donc trouver un système;

Autre chose à prévoir: il faut améliorer l'entrée de la cabane avec un rideau par exemple, un sas, ou une porte qui ouvre dans les deux sens.
le confort des ces petites bêtes est essentiel.

dimanche 17 novembre 2013

Baguette de bois coincée dans le nourrisseur

Avant hier, j'ai été donné un peu de purée de fruits aux abeilles. je devais le faire depuis un bon moment, mais en fait, pour l'instant, à l'exception de la dernière semaine de mauvais temps, les jours de vols ont été nombreux, et il semble que les abeilles aient pu faire de bonnes provision en cette fin de saison. devant chez moi, il y a encore des fleurs, et au moindre rayon de soleils elles sont là par dizaines. Je n'ai pas pesé mes ruches, peut être devrai-je le faire, comme on vient de me le répéter. Aller, je trouve un pèse personne, et je tente l'expérience.


Bon, donc j'ai voulu nourrir mes abeilles. Le problème est que la purée de fruit est solide, or, la dernière fois j'avais été contraint de mettre un petit bout de bois dans le nourrisseur pour éviter lors de la recharge en sirop que les abeilles ne soit dans le plateau. Je m'explique j'utilise un nourrisseur bois. dans ce type de nourrisseur, les abeilles peuvent monter et rester parfois , il est alors difficile de recharger car on les noie, elles ne pleuvent ensuite plus redescendre avant que tout soit consommé. D'ou l'idée de mettre un petit tasseau de bois qui laisse monter le sirop, mais empêche les abeilles d'aller dans le plateau. ce bout de bois est resté collé par le sirop. il a donc fallu le décoller puis le récupérer, afin que le plateau soit rendu accessible; Tout s'est très bien passé;


mon inquiétude était qu'en forçant pour retirer la baguette, celà fasse trop bouger la ruche, et que les baeilles défassent la grappe et s'envole, fragilisant un peu plus la ruche, et me mettant en situation délicate. d'autant que je ne voulais pas utiliser l'enfumoir pour cette petite opération;


ben voilà. alors maintenant, je me demande si elles on aimé cette purée de fruit, il faut que j'aille voir, mais à cette occasion, je leur donnerai u autre sucre;

à suivre...

Les poules déménagent

Aujourd'hui, journée très agréable.
j'ai installé les poules dans leur nouvel espace. Elles vivaient jusqu'à alors avec d'autres compagnes chez une voisine. mon petit Alexandre a été un peu surpris que je tienne une poule dans une main, et lui d'ans l'autre bras, mais, il a vite compris. la voisine a pris la seconde poule. J'espère qu'elles seront à l'aise dans leur nouveau poulailler.

L'espace est un un peu restreint, encore que, il manque peut-être un peu de vert, on verra bien. j'essaierai de faire pousser du trèfle du blé, ou autre. L'espace doit faire une dizaine de m², et se situe pour partie sur mon ancien tas de compost. Elles devraient trouver de quoi manger, pousses variées, et vers de terre.

Je ne pense pas qu'un prédateur s'aventure dans le poulailler, mais ça pourrait arriver, peut être faudrait-il renforcer le grillage. si j'en trouve un, je m'en occuperai. il faut dire que j'ai réalisé l'ensemble à base de récupération, et que la matière commence à manquer, tout comme le temps d'ailleurs; La cabane a été réalisée vite fait dans de la planche de sapin de 25 mm d'épaisseur. je vouai ces planches à la fabrication de ruches, mais je n'en ai pas le temps, actuellement, et le bois était stocké dehors, non abrité; comme je n'avais rien d'autre sous la main, j'ai utilisé ce bois, résultat: une petite cabane bien confortable , je pense pour les poules. Il reste quand même à ajouter un perchoir, et un sas d'entrée.

j'ai opté pour une maison miniature, (environ 80 x 60 cm et 60 cm de haut. j'ai prévu un toit deux pentes, que je pensai tuiler, mais j'ai dû me rabattre sur une couverture bois pour l'instant. c'est pas mal. Il manque encore un distributeur d'eau, je pense prendre un modèle 6 à 10 litres pou être tranquille l'été, mais, peut être vais-je le fabriquer. ça m'embête un peu d'en acheter un maintenant qui risque de geler et donc casser cet hiver, à réfléchir. Voilà, on va bien voir si ces petites bêtes se remettent à pondre malgré le froid ambiant;

photos à venir prochainement

lundi 11 novembre 2013

Le paillage des cardons

j'ai commencé par pailler les cardons, comme on me l'a recommandé. je ne disposais de rien, j'ai donc utilisé un vieux carton. à l'usage, il s'est avéré être bien trop rigide, mais celà à permis à mon cardon un peu fragile de résister aux vents violents.
Par la suite, j'ai eu l'idée d'utiliser des sacs de farine boulangère, et là, je dois dire que c'est vraiment le top. il suffit d'ouvrir proprement le sac en son fond par exemple, puis de lier les feuilles du cardon de façon à, ne pas les blesser. il ne reste plus qu'à enfiler le sac sur la plante, à protéger efficacement le cardon, pour le faire blanchir; on peut ensuite refermer légèrement le col à l'aide d'un lien léger, sans oublier de butter un peu au pied, qu'on pourra utilement pailler. En tout cas, c'est ce que j'ai fais, je verrais bien le résultat.
A propos de mes cardons, je les avais planté trop serrés, ce qui fait que seuls deux d'entre eux ont grossis, pas les autres, qui je pense grossiront l'année prochaine, en occupant une place au jardin,; mais tant pis. je les ferais peut-être blanchir en cave, si besoin.

Un autre soucis que j'ai ai que certains de mes cardons ont des épines, et pas les autres. Celà me pose question: sont-ce des artichauts ? peut-être, comment les reconnaître, je ne sais m^me pas à ce jour malgré mes recherches 'il s'agit dune seule et m^me plante, ou de deux plantes différents.

à suivre...

Mon potager est un véritable plaisir

Mon potager est un véritable plaisir;

j'en ai eu plusieurs, ou plutôt, je vrais dire que j'ai travaillé dans plusieurs jardins de légumes, qu'ils soient partagés ou non.
En effet, je n'avais jusqu'à aujourd'hui jamais eu un petit bout de terre à moi vraiment. ça a toujours été précaire, et un jeu de conciliation, mais c'est aussi ça la vie. En tout cas, je peux actuellement cultiver mon jardin, et j'en suis ma foie bien content.
Mon jardin est en plusieurs parties. Une petite parcelle, juste devant chez moi, d'une vingtaine de mètres carrés, et une autre un peu plus grande, et aussi un peu plus loin. Ce n'est pas immense, mais ça permet vraiment de s'exprimer, il y en a du travail avant de récolter, ça ne manque pas. d'autant qu'il a fallut pour mettre la terre en culture commencer par en retirer l'herbe. J'ai tout fait à la triandine. Mais nous y reviendrons plus tard.
Mon jardin a donc commencé fin 2012, juste avant l'hiver.
Comme dans les autres rubriques, celle ci va me servir de carnet, bloc note, mémoire photos, et autres. C'est avant tout un outil.Bonne lecture, et bon jardinage.

L'intérêt que je porte aux abeilles

L'intérêt que je porte aux abeilles depuis quelques temps est assez surprenant, en fait. Celà date de fort longtemps, alors que je regardais les abeilles voler et butiner sur les lavandes en fleur. Mais je n'avais alors pas eu l'idée d'en faire l'élevage, ni même de faire une récolte de miel. Plus tard, alors que j'étais en formation dans le domaine de l'industrie, j'ai rencontré une femme, qui m'a évoqué la passion de son homme: c'est un apiculteur. Comme j'ai toujours été passionné de la terre, et de son vivant, en d'autres mots, l'écologie, j'ai été amené lors de mes études et recherches variées, à me poser la question de la survie des abeilles dans le monde hostile que nous leur bâtissons , sans grande conscience d'ailleurs.
Je rédigeais alors quelques articles pour un site web en devenir, quand j'ai évoqué les abeilles, je me suis rendu compte que pour en parler, et dépasser le stade des "on dit que", il fallait les voir de plus prêt. Je me suis promis de faire un article quand j'en aurai eu l'occasion. Je n'ai alors plus écris pour cette page web.
Alors que je m'intéressais à d'autres sujets, j'ai été amené en faisant mes courses à  avoir connaissance d'un stage d'apiculture, une formation complète. Celà n'a pas été plus loin, pluis un jour, j'aiç rencontré une personne très intéressante qui m'a permis de m'inscrire à cette formation, pour la découverte des abeilles, et peut-être devenir apiculteur. Je n'ai pas hésité, et j'ai fais cette formation;
 j'en suis très content aujourd'hui.

Me voilà donc parti dans l'apiculture.
 cette rubrique va me servir de livre de conduite. je vais y consigner mes interventions, la vie de la colonie d'abeilles, les erreurs, les geste techniques à connaître, et tout ce qui peut présenter un intérêt sur ce sujet.
Alors bien sûr, l'aventure à commencé au printemps, nous sommes au milieu de l'automne, j'ai donc pris du retard. Peu, importe, je vais tenter dès que j'aurai retrouvé mon cahier de retracer les principaux événement qui se sont déroulé depuis ces 10 derniers mois.
ce carnet sera agrémenté de nombreuses images, j'espère.

 voilà, bonne lecture, et beaucoup de patience, qui est mère de courage.

Pourquoi ce nouveau blog ?

Bonjour, voici donc mon nouveau blog,

en tout cas provisoirement à cette adresse.
je pense qu'il sera plus simple, plus personnel, mais aussi plus intéressant, et en lien avec ma vie réelle.

  • En tout cas, je crée un blog non pas pour faire de l’internet, mais plutôt, pour satisfaire un besoin technique: disposer d'un endroit central ou consigner et retrouver mes expérimentations qui concernent le jardin, au sens large.

En effet, jusqu’à présent, je note ces éléments dans des cahiers, sur des feuilles libres, dans des fichiers Word, et à la fin, je ne parviens pas à retrouver mes billes.

  • D'autre part, je me dis que c'est l'occasion de faire d'une pierre deux coups, en rendant ceci public, pour que ça puisse servir éventuellement à d'autre , dans le cadre du partages de la connaissance, et des expériences.  je profite moi même beaucoup des expériences des in internautes à travers les forums e autres lieux de débat et présentation. 

C'est aussi l'occasion d'avoir un audience, avec peut-être un retour sur investissement, pourquoi pas?

Je verrai à l'usage si cette adresse et cette formule est la bonne. Si ça ne fonctionne pas comme je l'entends, je rechercherai une autre solution.

N'hésitez pas à laisser votre commentaire, j'essaierai dans la mesure du possible au moins de le lire.