jeudi 2 juillet 2015

Coccinelles et doryphores

la coccinelle


Bien sûr, elle est à préserver sous toutes ses formes, depuis, jusqu'au stade adulte. 

C'est un très bon auxiliaire du jardin, puisqu'elle se nourri de multitudes d'autres insectes, potentiellement nuisibles, comme le puceron. 
Pour ma part, je lui laisse des espaces et des plantes grade manger comme le chénopode à pied blanc, assez loin des autres plantes quand m^me parce que sinon, il a tendance a étouffer la culture. mais comme il est facile à arracher, ce n'est pas un problème. je conserve aussi par exemple des artichauts, ou des cardons, qui se recouvrent en début de saison de pucerons, puis qui sont ensuite nettoyés par les coccinelles;



le doryphore

Lui est vraiment problématique, puisqu'il détruit le feuillage de la pomme de terre un peu trop tôt malheureusement.
Habituellement, les populations sont raisonnables, et un ramassage à la main suffit. parfois les poules terminent le travail, moyennant quelques dégâts. 
Cette année, je crains le pire, mes voisins en ont été littéralement envahis en plusieurs vagues successives. j'en retrouve moi aussi des quantités plus importantes qu'à l'accoutumée;
J'espère qu'ils ne vont pas monter dans les tomates et les aubergines. Alors depuis, je traque le moindre accouplement, la moindre larve. Jusque là, ça va.



la ressemblance


Je viens de me rendre compte que la nymphe de coccinelle ressemble beaucoup à la larve de doryphore. Chose que je n'avais pas remarqué.

Il semble alors possible d'avoir préserver des doryphores par erreur,  en voulant préserver des coccinelles. D'autant que le problème semble être les même au stade œuf.

Point à étudier un peu plus